Façade Est du château d'Abbadia
Généalogie du document
Fonds d'appartenance : Fonds privé Dornaletche Nom du propriétaire du fonds : Famille DornaletcheInventaire d'appartenance : Clichés des extérieurs du château, portraits et cartes postales Référence inventaire d'appartenance : Fonds Dornaletche. Extérieurs et portraits.
Détails sur le document
Référence : Extérieur Est 1Auteur : non renseigné
Description physique : Photographie
Format du document : non renseigné
Langues du document :
Description du document
Présentation
Cette carte postale a été éditée après 1904, comme en témoigne l'espace dédié à la rédaction en son verso. Son titre indiquant "le château d'Abbadie" illustre la confusion perpétuelle entre le nom de l'édifice et le patronyme de son commanditaire.
La prise de vue a été réalisée depuis le bois d'Urkabe, à quelques mètres à l'Est du château. De ce point de vue, se succèdent la tour ronde du salon, l'aile de réception, le chevet à cinq pans de la chapelle, la tour carrée et la façade orientale de l'observatoire astronomique.
Les abords immédiats sont aménagés en un jardin anglais soigné mêlant les essences arboricoles endémiques et exotiques, éclectisme qui constitue l'identité d'Abbadia. Au premier plan, se déploie le chemin qui relie le château à la ferme Aragorri, située en contrebas et abritant les communs. A l'arrière-plan, les abords de l'édifice sont relativement dégagés, le bois de l'entrée à gauche ayant encore de petites dimensions, ce qui permet de dater ce cliché dans les deux premières décennies du XXe siècle.
Dès la Belle Epoque et la donation à l'Académie des sciences, le château d'Abbadia, même s'il était impénétrable, devint un objectif de promenade pour la population locale et la société en villégiature. Cela conduisit à la production de nombreuses cartes postales à son effigie, témoignant d'une démarche touristique et commerciale.
La prise de vue a été réalisée depuis le bois d'Urkabe, à quelques mètres à l'Est du château. De ce point de vue, se succèdent la tour ronde du salon, l'aile de réception, le chevet à cinq pans de la chapelle, la tour carrée et la façade orientale de l'observatoire astronomique.
Les abords immédiats sont aménagés en un jardin anglais soigné mêlant les essences arboricoles endémiques et exotiques, éclectisme qui constitue l'identité d'Abbadia. Au premier plan, se déploie le chemin qui relie le château à la ferme Aragorri, située en contrebas et abritant les communs. A l'arrière-plan, les abords de l'édifice sont relativement dégagés, le bois de l'entrée à gauche ayant encore de petites dimensions, ce qui permet de dater ce cliché dans les deux premières décennies du XXe siècle.
Dès la Belle Epoque et la donation à l'Académie des sciences, le château d'Abbadia, même s'il était impénétrable, devint un objectif de promenade pour la population locale et la société en villégiature. Cela conduisit à la production de nombreuses cartes postales à son effigie, témoignant d'une démarche touristique et commerciale.
Bibliographie
- TOULIER B., « Un parfum d’Orient au cœur des villes d’eau », in In Situ Revue de l’Inventaire Général, n°7, février 2006, réf. du 3 mars 2011. URL : http://insitu.revues.org/3069
- TOULIER B., Villégiatures de bord de mer XVIIIe-XXe siècle, Centre des Monuments Nationaux/Editions du Patrimoine, Paris, 2011.